Wellrythorn Garatziel

Nom : Garatziel (a ce qu'il dit)
Prénom : Wellrythorn
Âge : 25 ans
Profession : Corsaire

Parents :
-Père : Sir Wellros
-Mère : Gwenden Bonie

Frères :
-Welldarrynn
-Wellrya

Soeur :
-Glaeden

Demi frère :
-Wellfow

Cousin :
-Delagoth Bonie
-Welldarîs


Description physique :

Grand brun aux yeux vert, environs 24-26 ans. Il a le visage assez fin et ses entrainements lui ont permi d'aquérir une certaine carrure.
Deux petits points de cicatrices sont visibles a son cou.

Sa voix est douce et il possede un petit accent "du Sud" d'Azeroth.

A son cou est suspendu autour d'une chaine en argent un médaillon avec les lettres "OSR" gravées dessus.

La Chevalière de sa main gauche porte un insigne étrange ...

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Posséde un gros tatouage tribal sur le coté gauche de son buste, partant du dos jusqu'au torse. Une lune est représentée au centre, entourée de nombreux piques.

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Porte un parfum frais, sensuel et boisé...
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==BG==

Dans la 7ième décade du Tigre il y a 24 ans, Dame Gwenden et Sir Wellros eurent la joie de voir leur 2nd fils naître dans l’hopital de Stormwind qu’ils appelèrent Wellrythorn.
L’aîné, Welldarrynn, âgé de 3 ans a l’époque, était resté chez sa tante du vieux quartier.

Un frère leur vînt deux ans plus tard, nommé Wellrya.
Chaque garçon étaient différents. Un roux, un brun et un blond.
Pendant trois ans ils vécurent dans le quartier commerçant de la ville.

Journal de Wellrythorn :

Wellros, notre père, était garde de la cité et notre mère couturière a la maison pour nous garder durant notre enfance.
Nous menions une vie paisible dans notre quartier…
Des amis venaient souvent le soir passer un moment autour d’un bon mouton grillé et d’une bonne pinte.
Durant notre enfance, nous allions souvent devant la salle des fêtes pour voir les nobles personnes qui y entrer pour voir les spéctacles qui s’y donnait.
Nous chassions aussi les rats noirs de la petite ruelle a côté avec nos amis.
Nous restions dans le quartier car nos parents nous avaient déconseillaient de nous éloigner de la maison car parfois des brigants trainaient dans les rues, surtout dans le vieux quartier.
Puis les choses changèrent…

Welldarrynn, partit étudier chez un ami de la famille les arts des enchantements dans la Tour d’Azora en fôtet d’Elwynn a sa 10ième année.
Wellrya et moi étions encore a la maison… attendant de partir nous aussi… mais où ?

Notre grand frère nous envoyait es lettres tous les trois jours, nous racontant ses nouveaux exploits en enchantement.

Nous partions le voir de temps en temps.

Puis notre mère retomba enceinte… et donna naissance a une petite rouquinne du nom de Glaeden.

Wellrya et moi étions content d’avoir une petite sœur pour pouvoir la défendre et jouer les petits héros du quartier en tuant des petites bêtes et en chassant les petits voyoux qui s’en prendrait a elle.

Elle grandissait a vue d’œil.
Nous l’amenions avec nous voir les gens entrer dans les soirée de la salle des fêtes. Elle aimait regarder les robes des demoiselles.

Je me souviens encore du jour où vînt une Dame Elfe. C’était très rare a l’époque. Elle était vêtue d’une grande robe bleu incrutée de diamants vert et de rubans bleu clair. Elle passa tout prêt de nous. Et voyant que je la fixé bêtement depuis son arrivé, me fît un clin d’œil accompagné d’un sourire.
Ce moment resta gravé dans ma mémoire durant de longues année, me rappelant toujours ce visage de déesse.

Puis dans ma onzième année, je fut accepté dans l’Ordre des apprentits Paladin de la ville. J’y appris avec mon Maître les techniques de combat d’un bon Paladin puis, chose indispensable, les courants de pensé spirituels de notre Ordre : La Sainte Lumière, aide et force, donnant courage et espoir a tout homme qui veut bien croire en elle.

Parlant de cette dernière a mon plus jeune frère, il concentit a venir rejoindre l’Eglise de Stormwind. Mais n’aimant pas les armes, il préfèra devenir prêtre de notre Ordre.

Avec nos jeunes nouveaux amis avec qui nous avions tissé de fort liens, nous fondèrent une groupe de défenceurs de notre Ordre. Les « chevaliers du Lion Sacré » virent leur jour lors d’une cérémonie secrete entre nous, le soir d’une grande fête au Parc.
Nous y sommes allés tous ensemble s’étant promis de s’amuser toute la soirée et de ne penser a rien d’autre, même pas aux charmantes demoiselles qu’il y aurait.
Mais bon… nous connaissant, nous savions déjà que ce pari serait impossible…

Chacun trouva une cavalière tout en restant discret pour ne pas se faire remarquer par les autres.
Je vis une charmante Dame Elfe assise sur un banc, seule, attendant qu’un cavalier lui demande de bien vouloir danser avec.
Sautant sur l’occasion, je remis ma timidité de coté, et d’un pas préssé, m’approchat du banc.
Elle accepta mon invitation avec un grand sourire et nous commencèrent a dancer.
Mais la regardant de plus prés, il me semblait l’avoir déjà vu quelque part… Mais rare étaient les elfes dans nos contrées…

Puis, elle me fit un clin d’œil et me sourit.
C’est a ce moment là que ca me revint !
Elle était l’elfe de mon enfance (enfin, cela ne faisait que six ans apres tout).
Puis voyant mon regard, elle compris que je l’avais reconnue.
« Enfin tu te souvient de moi ? » me dit-elle.
« Heu… et bien il me semble oui. Vous étiez venu à une soirée il y a quelques année non ? » lui répondis-je.
« En effet. C’était il y a six ans dans la décade de la chouette, un soirée avait été organisée pour les étrangers de la région. J’étais venu avec mon père. Je me présente, Ithilien. »
« Enchanté ! Moi c’est Wellrythorn. Mais votre père, j’avais cru qu’il était votre amant ou mari a l’époque. »
« Non non, avec mes voyages, je n’ais jamais eu le temps de m’attacher a quelqu’un au point de l’aimer… » soupira t-elle la tête baissée.
« Et maintenant vous êtes installé dans la régions ? »
« Pas encore… mais possible… je cherche du travail.»
« Ma mère est couturière, elle vous trouvera du travail ! »
« Je ne sais point coudre… mes compétences se tournent plutôt vers les plantes. »
« Et vous ne voudriez pas essayer la couture ? Elle a un magasin tout prés du quatier commerçant ! »

Elle me regardant en riant.

« Ne seriez vous pas en train de vouloir me faire rester ici afin de m’avoir prés de vous ? »
« Héhé… ben… c’est que… hum…*tousse* Le travail ne cour pas les rues vous savez… » répondis-je gêné.
« Mouai… je me demande… m’enfin… pourquoi ne pas m’installer oui »

Puis la soirée continua très tard dans la nuit. Je la racompagna jusqu’à sa porte et nous nous dires adieu sur le pas de sa porte.

Les années passèrent et nous faisions des petites fêtes entre amis dans notre nouvelles maison avec mes amis. Ithilien, devint une amie très proche… très très proche. Ma sœur Glaeden devint aussi une prêresse comme Wellrya. Elle grandit puis vint nous rejoindre dans notre maison d’ami (composée de Wellrya, des Chevaliers du Lion Sacré, de quelques amies et de moi même).

Notre grand frère revînt nous voir pour un séjour. Il avait beaucoup changé. Il avait grandit et il avait laissé pousser un peu de barbe. Mais les nouvelles qu’il ammenait n’était pas des plus réjouissantes.

Des « ombres » avaient envahient le Nord, en Lordaeron. Des villages entiers avaient été rasé de la carte. Et une peste se répendait parmis les survivants, les relevant a leur mort en serviteurs des « ombres ».
Les autorités de la ville étaient au courant et prirent des mesures.

Les meilleurs guerriers de la contrée et de la ville devaient se présenter devant les portes de la capitale pour monter une armée de secours.
Les hommes de plus de 22 ans et de moins de 50 ans devaient partir pour Lordaeron.
Les autres devaient garder la ville.

Notre père et Welldarrynn partirent donc ensemble pour combattres ce… fléau.

Plusieurs mois s’écoulèrent sans nouvelles d’eux. Des rumeurs nous parvenaient disant que l’armée de Stormwind n’avait même pas atteint la cité de Lordaeron. Mais nous ne voulions pas y croire. Pour nous, ils reviendraient vainceurs.

En attendant, avec ma sœur, mon frère et nos amis, nous avions décidés de changer l’humeur des gens en animant un peu la ville. Nous donnions des soirées dans l’auberge du vieux quartier au début. Puis devenant appréciés des gens, nous partirent vers la salle des fêtes pour qu’il y ait plus de monde.
Ainsi passèrent de longues semaines d’attentes…

Puis un jour, ou plutôt un matin, un jour de ciel gris, un garde entra dans la ville criant : « Venez Ô peuple de Stormwind ! Venez voir les vainqueurs du Nord ! Et venez voir et glorifier vos morts ! »

Nous accoururent tous aux portes de la ville, croyant revoir notre père et notre frère. En arrivant, nous virent des chariots de cadavres devancaient des quelques survivants. Le plus haut gradé du cortège, un Lieutenant, afficha une liste avec les morts qu’ils avaient reconnus parmis les cadavres…

Notre mère courrue vers cette liste. Et cherchant dans l’ordre alphabétique, tomba sur… Wellgorn… Wellmonir… Wellpard… WELLROS !
Horreur !
Mère s’effondra sur ses genoux en larmes…
Elle devint veuve a partir de se moment là, réalisant toutes les conséquences… et surtout réalisant qu’elle ne revérait plus son époux, l’amour de sa vie, l’ancien beau et jeune homme qui l’avait charmée il y a bien longtemps…
Mais elle n’osait pas regarder sur l’autre partie de la liste pour voir si mon frère y figurait.
Un homme masqué de sa capuche approcha doucement et mis sa main sur l’épaule de notre mère.
Ne sachant qui ce fut, je sortit mon épée et Wellrya son bâton.

L’homme chuchotta quelques mots a mère : « N’ais crainte. Il repose en paix maintenant. Il ne souffrit pas, ce fut une belle mort, une mort au combat, une mort noble »

Nous reconnurent tous la voix de Welldarrynn.

Mère lui sauta au cou le serrant très fort, l’embrassant et lui disant qu’elle l’aimait.

Nous repartîmes à la maison de notre mère pour entamer notre deuil.
La nuit fût longue pour nous tous, personne n’arrivant a dormir.

Ma sœur vînt me retrouver dans ma chambre pour parle un peu.
Elle s’allongea a coté de moi, des larmes le long de ses joues.
Elle regrettais de ne pas avoir connu père assez longtemps et me demanda de lui raconter tous les moments que nous avions passé en sa compagnie dans notre enfance.

La journée du lac où père tomba des hautes herbes pour atterrir dans l’eau la fit rire quelques instants… mais les tremblots et les larmes reprirent…

Deux jours apres fut la journée de l’enterrement collectif. De nombreuses femmes vêtuent de noir avec un voile étaient au devant du cortègene funairère.
Un prêtre dit une bénétiction, le Lieutenant un petit discours en mémoire des morts, et quelques survivants leurs adieux a leur frères d’armes en les glorifiant de paroles sur leurs actes de bravoures.

Deux mois passèrent. Ithilien due repartir dans sa terre natale car les anciens appelés tous les Elfes pour un rassemblement général afin de s’organiser face a cette menace du Nord.

Je suis a présent un Paladin fier de ma familles, de mes convictions et de mes actes.
Je suis gérant d’un groupe d’artistes et de détectives qui œuvres pour le bien de notre peuple de Stormwind.
Mes frères et ma sœur m’ont rejoinds.

Nous avançons a présent main dans la main, soudées face aux épreuves et joyeux de la joie que nous apportons aux autres grâce a nos spéctacles.

Welldarrynn a dû partir un moment en voyage pour terminer sa formation, Wellrya aide nos compatriotes en utilisant ses dons de soins et ma sœur Glaeden reste avec moi a Stromwind pour veiller sur notre mère.

Puisse la Lumière nous guider a chaque instant de notre vie afin de survivre et de tout faire pour préserver la paix et la joie malgrés les ténèbres de ce monde…

Puisse t-elle vous protéger, vous qui lisez mon journal…

*Quelques pages aprés...*

*Texte tatoué sur le dos de Wellrythorn :*

Jadis un mortel
Désormé éternel
De part les ténèbres
Un nouveau pouvoir
Pour lui permettre
De chasser les « Saigneurs Noir »
N’ayant plus de reflets
Il en a fini d’aimer
Il doit accomplir sa mission
Pour mettre fin a la malédiction

Irc Ocha Ertek jer Moar dar eterni
« Il fut mordu pour servir dans l’éternité »


Journal de Wellrythorn (suite):

Ce n’est qu’il y a peu que j’en ai appris un peu plus sur moi… et sur cette… bref.
Si je dois mourir bientôt, je tiens a ce que mes amis apprennent ma vrai nature, ce dont j’eu honte dans le passé mais dont je n’est plus peur.

Commençons par le début.
C’était il y a quatres ans, a mes vingts ans, l’âge noble et plein de vigueur, emplis de puissance lumineuse et plein d’ardeur. Avec Céramir, mon meilleur ami et frère Paladin, nous avions une mission a accomplir dans les « Bois de la pénombre », une contrée étrangère pour nous encore, car nous n’étions pas prêt a l’époque pour partir dans ce lieu obscur.
Nous partîmes donc de Stormwind en direction de la ville de Darkshire que nous savions pas très acceuillante. Les heures de marche passèrent et nous arrivèrent a la tombé de la nuit dans la ville. Nous entendions des hurlements de loups au lointain, mais ce n’est que dans la soirée que nous apprîment qu’il sagissait de loup-garous. La peur nous envahit. Nous n’avions encore jamais affronté des créatures des ténèbres. Mais nous étions résolut a poursuivre notre mission.

Les gens nous regardaient du coin de l’œil sans rien nous dire. Ils chuchottaient doucement dans leur coin. Nous ne nous sentions pas les bienvenus… Nous sommes partit chercher une chambre a l’auberge pour y passer la nuit. Les flammes rougeoyantes des torches refletaient sur les visages des lueurs étranges… nous n’avions rien vu de tel chez nous, mêmes les éléments naturel, tel le feu, paraissaient different, les ténèbres étant omniprésentes dans cette contrée.

Nous avons pris une chambre mais avant de monter, nous sommes allés boire une bonne bière.
Tout le monde nous regardé de travers, pensant surement que nous allions apporter de nouvelles malédictions a ce lieu. Mais le tavernier vit l’insigne de Paladin sur notre cape.
-Ce sont des Serviteurs de la Lumière mes amis ! N’ayez crainte.
-Et qui nous dit qu’il n’ont pas volé ces uniformes ? dit un vieux paysans au fond de la salle.
-Nous sommes envoyé par le Saint Ordre dans cette région pour chasser une créature obscure. Répondit mon ami. Quoi que vous pensiez de nous, nous ne partirons qu’apres l’avoir tué !
Tout le monde leva son verre et bût sa bière.
Nous partîmes nous coucher pas très tard pour nous lever tôt le matin. Nous ne savions pas où se trouvé l’antre de cette créature du mal, ni comment nous devions la combattre…
Nous savions juste qu’elle craignait la lumière du jour et qu’elle avait une grande agilité, car un garde l’avait vu un soir s’enfuir par dessus une grange, laissant sa victime au pied de celle-ci. Nous savions aussi qu’elle n’était ni carnivore ni herbivore, mais qu’elle laissée sur ses proies une morsure au cou en général : deux grand crocs insisant une douce peau…

Le lendemain, Céramir me reveillât et nous nous équipèrent. Un bon petit déjeuné et nous sommes allés à la forge pour aiguiser nos lames. Il fallait que tout soit prêt pour reussir.
Je regardais dehors en attendant, le soleil se levait, dans un doux berceau de nuage, laissant jaillir quelques rayons de lumière qui venaient se poser sur mon visage et réchauffaient mon âme. Nous savions que la Lumière nous guiderait sur notre route.

Nous sommes allés par le Sud, puis vers l’Ouest ensuite, suivant le long chemin a travers ses sombres bois.

Au croisement nous avons sortit un vieux parchemin avec une carte des lieux. Elle devait indiquer un ancien cimetière devancé d’un village marchand. En arrivant nous n’avons vu que ruines et désolation… La ville était abandonnée et a moitié brulée.
Une grande statue était en son centre. Un guerrier la tête baissé comme s’il avait honte de quelque chose, mais quoi ? Elle ne m’inspirait pas confiance pour la suite. Nous arrivâmes au cimetière en question juste derrière, lui aussi dans un sale état. A l’entré, une autre statue, celle d’un homme chauve nous acceuillant les bras tendus. J’avais déjà vu cette scene quelque part mais sur le coup ca n’est point revenu. Nous avancèrent dans les allés lugubres et brumeuses. Au bord d’une tombes au loin, des… squellettes relevaient un de leur semblable d’un trou. Nous devions intervenir avant que d’autres se reveillent. Nos pouvoirs de Paladin eurent raisons d’eux.
Puis nous appercevîmes l’entrée d’une crypte reconstruite il n’y a que quelques années. Deux gardiens maudits surveillaient l’entrée.
-Tu prend celui de gauche ok ? me lança Céramir.
J’aquiessa de la tête.
Pendant le combat un des gardiens pris une forme plus bestiales, il était en train de se transformer en bête sauvage de par sa rage. Céramir eu le temps de l’achever avant la fin de la transformation mais fut griffé au torse. Une grosse entaille, mais qui se referma sur elle même et laissa le torse sans cicatrices. Nous n’avions pas compris pourquoi. Mais le temps préssé a présent. Les créatures de la crypte devaient être sur leur garde dorénavant.

Nous nous sommes fait un chemin a travers les couloirs sans torches, les toiles d’areignées et les rats. Nous sommes arrivés devant une belle porte de bois, ornée d’or et de pierres précieuses.
Céramir enfonça la porte et vit… la créature.
Elle n’avait rien d’une bête. De dos on aurai dit un humain.

Elle se retourna et nous fixa. Elle parla en une langue qui nous était inconnu, mais nous comprîres que nous nétions pas les bienvenus… Elle se jetta sur moi violament et me mordit de ses grandes caninnes dans le cou. Je n’eu le temps de rien faire, je tomba au sol, a moitié inconscient, regardant Céramir combattre seul. Le créature changea d’apparence, des ailes lui sortirent du dos et ses crocs poussèrent pour mieux mordre. Il n’y avait aucun doute pour moi, nous allions périr tous les deux dans une sombre crypte loin de chez nous, loin des notres, loin de tout…

Je vis Céramir tomber sur ses genoux, implorant la Lumière de le faire mourir pour ne pas souffrir ni pour donner satisaction a cette bête en le tuant. Mais au lieu de mourir sur le champs, un feu bleu sortit de ses mains, il se releva, mais pas par sa force, guidé comme une marionette. Le feux se répendit ensuite sur tout son corps puis il lévita. Etant paralisé au sol, je dû rester là impuissant. J’entendais des paroles dans ma tête, mais n’arrivais pas a en dicerner le sens. Puis les yeux de Céramir se mirent briller. Des rayons lumineux sortirent ensuite fixant la bête. Elle commencait a faiblir. Céramir avanca puis la toucha de ses mains de feux. Il brula vif la bête qui fondit sur place. Ma paralysie s’arreta a sa mort.
La bête était morte, mais Céramir s’écroulat au sol. Ses yeux et le feux s’éteignirent. Il me regarda. Puis il chuchotta : « Nous avons reussit mon frère… Que la Lumière te guide a présent, car moi elle m’a déjà sauvé… » La dessus ses yeux se refermèrent pour le long sommeil. Puis son cops se mit a devenir lumineux. L’intensité de cette lumière se fit de plus en plus forte, j’en perdit connaissance je supposse, car je ne me souvient de plus rien apres.

Quelques jours apres, un matin, je me reveilla dans une chambre de la Cathédrale de Stormwind. Bénédictus vint me voir et me dit que tout allait bien et que je n’avais rien. Il me dit de me reposer car il avait des questions a me poser ensuite.

Il revint sans la soirée pour me questionner. Je lui raconta toute l’histoire dans le détails et la mort de Céramir.
Il resta un moment silencieux. Il partit a la Bibliothèque et revint avec un vieux grimoir plein de poussière. Sur la couverture était gravé : « Hectélius, Prince des Saigneurs ».
Il m’explica qu’il n’y avait pas de faute dans le mot Saigneurs car en fait il sagissait d’une vieille race obscure au service de la Légion Ardente qui se nourrissait avec le sang de ses victimes. Mais étant trop prétentieux et trop indépendants, ils se rebellèrent contre la Légion Ardente qui les bannit des surfaces terrestres, les condamnant a ne vivre que la nuit par une malediction et a ne plus se reproduire entre eux que par morsures sur de jeunes gens.
On les nommé les Redbloods, race éternelle et continuellement jeune.

« Hectélius était un Prince de cette race qui se rebella. Il partit chasser une nuit pour se nourrir, trouvant une jeune proie. Une jeune fille d’une beauté divine. Il resta bloqué devant elle lorsqu’elle le supplia de l’épargnier à genoux. Hectélius ressentit un nouveau sentiment en lui, ce que nous appelons de la pitié. Il eu de la compation pour cette humaine et tomba sous son charme. Il revint la voir pour lui parler. Elle aussi commenca a ressentir quelque chose pour lui, mais personne de devais le savoir sinon il serait tué par les villageois. Hectélius était prêt a abandonné son éternité et sa race pour cette femme. Mais les siens le bannirent et le livrèrent aux humains qui le brûlèrent sur la place du village. La jeune femme l’embrassa sur la chemin du bûcher en mélant son sang au siens pas une morsure a la lèvre, puis elle s’écroula en pleurs devant le bûcher, voyant son amour s’envoler en cendre devant les villageois joyeux. Elle s’enfuit vers les montagnes pour trouver la demeure de son amour et trouver les autres Redbloods. Elle leur raconta tout et leur dit qu’elle était désomais comme eux de part la morsure et qu’elle voulait venger Hectélius. Ils eurent honte de leur acte envers leur Prince… et reconnurent le courage de la jeune femme et la firent Reine sur leur peuple. Mais certains se rebellèrent contre cette descision. Ils furent chassé du nouveau Royaume et s’enfuirent dans les profondeurs de la montagne pour fonder leur propre empire.
Ainsi la race se scinda en deux parties, un royaume et un empire.
Les Darksas, groupe rebelle, restèrent fidèles aux anciennes traditions, alors que les Redblood souvraient vers un nouvel Ordre.
Ils étaient désormais plus pacifistes et cherchaient autre chose que leur contentement en nourriture. Ils s’allièrent avec un petit peuple nomade d’humain qui désirait s’installer.
Ils se protégèrent mutuellement, les humains le jour et les Redbloods la nuit. Mais il se posait le probleme de la nourriture…
La Reine instaura un nouveau processus de reproduction que celui des morsures sur des innocents. Redbloods et Humains se croisèrent pour donner naissance a une nouvelle race.
Cette race était capables de survire a la lumière et de se nourrir de viande sangniante mais d’animaux, tout en gardant leur éternité et leur force. Ils pouvait cependant mordre un humain pour le faire devenir comme eux.»

Les Redblood ont maintenant presque tous disparut car ils furent chassés et traqués. Seul quelques rares survivants se cachent loin des yeux humain.

-Tu as était mordu par l’un d’eux Wellrythorn, me dit Bénédictus. Avant de mourir, il voulait que sa race ne s’éteigne pas avec lui. Il a préférer te mordre. Mais il ne vous voulait pas du mal je pense… Il savait que vous alliez le tuer de toute façon, donc il s’est laissé faire.
-Et vous nous avez envoyé le tuer alors qu’il n’était pas dangeureux ?
-Nous ne savions pas mon jeune apprentit… Nous pensions qu’il sagissait d’un Darksas, car il ne sortait que la nuit. Mais je comprend que c’était pour fuir les humains. Je suis désolé aussi pour ton ami Céramir. Il était un exellent Paladin. Ca perte nous affecte beaucoup. Mais n’ais crainte. La Lumière doit avoir un objectif pour lui si elle qui l’a fait mourir ainsi. Repose toi maintenant.
Des inscription apparurent sur mon dos deffinissant ma mission et ma vie.

Je passa ces quatres dernières années sans trop repensser a ma morsure ni a ses effets…

Mais ce n’est qu’il y a peu, lorsque je suis allé voir Bénédictus pour me confier en lui, lui parler de mes problemes, de mes chagrins et espoirs de cœur, qu’il me dit la suite a mon sujet.

*l’écriture se fait de plus en plus grossière*

Je suis donc un des leurs... un Redblood de la nouvelle ère...
Il me reste donc a trouver mes nouveaux "frères...".

Que la Lumière guide mes pas.

(ceci dit, beaucoup de choses ont changée depuis quelques temps IG)